









Un itinéraire, devenu un classique, qui vous mène le long d’un sentier bien tracé de Landmannalaugar jusqu’à la vallée de Thórsmörk. A travers la réserve naturelle de Fjallabak et les hauts plateaux volcaniques, vous découvrez une région où les paysages changent tous les jours. Géothermie, montagnes multicolores, déserts de sable noir, canyons spectaculaires et glaciers immenses, avant de terminer dans la vallée verdoyante de Thórsmörk, au pied de trois glaciers. Vous découvrez les secrets les mieux gardés d’une région qui n’en manque pas.
Les niveaux du voyage
Niveau physique
de 5 à 6h d'activité par jour en moyenne ou un dénivelé moyen de 500 à 800m
Engagement
Ce voyage peut nécessiter quelques efforts. Les conditions sont majoritairement bonnes et le programme comporte un peu de challenge. Le voyage demande une appétence pour la nouveauté. Il est accessible à une majorité de personnes.
Altitude
Moins de 1500 mètres
L’aventure commence par un vol vers l’Islande, ce territoire brut où la nature domine. À l’arrivée, un transfert nous mène jusqu’à Reykjavík, capitale vivante et contrastée, posée entre mer et montagnes. Le reste de la journée est libre, l’occasion de flâner dans les rues animées, de s’imprégner des ambiances nordiques ou simplement de ralentir avant le départ. Nuit en ville. Repas libres.
Le bus s’élance vers l’intérieur des terres, longe les flancs du volcan Hekla et traverse des champs de lave et de cendres, vestiges d’éruptions qui ont enseveli des fermes entières. Le paysage est noir, brut, presque lunaire. Puis, comme une respiration, les prairies sauvages de Dómadalur apportent une touche de vert avant l’arrivée à Landmannalaugar. Ce site est bien plus qu’un point de départ : c’est une entrée en matière, une immersion dans l’un des plus beaux territoires de trekking au monde. Ici, la roche se fait palette : obsidienne, basalte, rhyolite, tuf… chaque pas est une leçon de géologie à ciel ouvert. L’après-midi, on part pour une première randonnée dans le massif coloré, façonné par la géothermie, histoire de se mettre dans l'élément. Le sol fume, les reliefs vibrent, les randonnées à venir se précisent. En fin de journée, repos du corps dans les eaux chaudes de la piscine naturelle, là où une rivière volcanique rencontre une rivière glacée. Une première soirée sous les lumières dorées du jour permanent. Nuit à Landmannalaugar.
On quitte Landmannalaugar pour s’élancer sur les pistes du mythique Laugavegur, l’un des plus beaux treks de la planète. Le sentier serpente entre coulées de lave figées, petits canyons et sources souffrées. Peu à peu, on prend de l’altitude. Les montagnes se parent de teintes improbables, sculptées par la géothermie : ocres, verts, gris, rouges. Le sol frémit, les couleurs vibrent. C’est la journée la plus ascendante du parcours, mais la montée est progressive, presque douce mais avec quelques passages où la déclivité est forte. On passe de 650 à 1?100 mètres, jusqu’au plateau de Hrafntinnusker, au plus haut du massif de Torfajökull. Ce stratovolcan coiffé d’un glacier s’est effondré en une immense caldeira, invisible à l’œil nu mais omniprésente dans le relief. On marche sur une mémoire volcanique, entre obsidienne noire et vapeurs souterraines. Le soir, le refuge posé là-haut, on passe la soirée au repos. Nuit à Hrafntinnusker.
Quittons les hauteurs de Hrafntinnusker pour plonger dans les ravines de Jökultungur, parsemées de sources chaudes et de couleurs improbables. Des taches jaunes, rouges, vertes éclatent dans ce décor austère, comme des éclats de vie dans la roche. Le sentier descend doucement, les plateaux du Torfajökull s’éloignent, et les reliefs changent de ton. À l’horizon, les calottes blanches du Mýrdalsjökull et de l’Eyjafjallajökull apparaissent, posées sur les sommets, quand on le voit pour la première fois, cela ne laisse pas inchangé. Le vert revient, les formes s’adoucissent. Puis surgit Alftavatn, le «?lac des cygnes?», posé là comme une pause dans l’itinérance. L’endroit est paisible, presque silencieux, baigné d’une lumière douce. On traverse ensuite la vallée de Hvanngil, la «?gorge de l’angélique?», qui marque la frontière entre cette zone végétale et le désert minéral de Mælifellssandur. Nuit à Hvanngil.
Le désert noir, entre cendres et glaces par un sentier longe le cône volcanique de Stórasúla, le «?grand pilier?», avant de s’élancer dans l’immensité noire du Mælifellssandur. Le paysage bascule. Plus rien ne ressemble à rien. On marche sur des sables volcaniques, nés des colères du Katla, ce volcan tapi sous la calotte du Mýrdalsjökull. Coulées de boue, retombées pyroclastiques, failles magmatiques… le sol raconte une histoire de feu et de glace. On avance, le regard s’égare dans ces horizons qui s'étirent. Puis, au loin, le glacier apparaît. Une calotte blanche de 600 kilomètres carrés. On longe ses abords, frôle ses cascades, avant de rejoindre la vallée de la Fremri-Emstruá. Le refuge d’Emstrur nous attend, posé au bord du canyon de la Markarfljót, entaille vertigineuse de plus de 200 mètres dans les anciennes coulées de lave. Nuit à Emstrur.
Dernière descente, dernier souffle. On quitte Emstrur en longeant le ravin de la Fremri-Emstruá, puis la vallée du fleuve Markarfljót. Peu à peu, la roche cède la place à la vie. Les premiers bouleaux nains apparaissent, discrets mais tenaces, annonçant l’entrée dans les «?bois de Thór?». Thórsmörk est une vallée paisible, presque secrète, cernée par trois volcans dont deux – Eyjafjallajökull et Katla – ont grondé au cours du dernier siècle. Sous leurs calottes glaciaires, les éruptions sous-glaciaires ont façonné des paysages mouvants, faits de boues et de cendres. L’arrivée dans la forêt, après des jours de traversées désertiques, a quelque chose de magique. On ralentit, on respire. L’après-midi, un bus nous ramène à Reykjavík. Le retour à la ville se fait en douceur, comme un atterrissage, tout en transition. Nuit en ville, repas libre.
Dernière journée, libre et ouverte. Reykjavík se dévoile à votre rythme. Déroutante parfois, avec ses larges artères transversales pensées pour les voitures, mais son centre a des airs de vieille Europe, presque de grand village. Tout est à portée de pas : petits musées, cafés, librairies, pubs, boutiques… On flâne, on s’attarde, on se laisse porter. Et pour celles et ceux qui veulent prolonger l’élan, le guide pourra vous conseiller des activités optionnelles : sortie en mer pour observer les baleines, baignade au Blue Lagoon, snorkeling, kayak de mer… ou autre. Repas libres.
Aucune date n'est actuellement programmée pour ce voyage. Pour plus d'informations :
Envie de partir en famille ou avec vos amis aux dates que vous souhaitez ?
Trois nuits à Reykjavík en guesthouse, en chambre twin avec sanitaires partagés. Un cocon simple, où l’on retrouve un peu de confort avant et après l’itinérance.
Quatre nuits en refuge, en dortoir, en sac de couchage. En été, ces abris sont très fréquentés, mais ils offrent l’essentiel : un toit, de l’eau, parfois une douche chaude. Les sanitaires sont parfois déportés, les cuisines équipées mais très occupées, mais l’ambiance est bonne.
Les dîners se prennent sous tente, à proximité du refuge. Un moment collectif, chaleureux, pour prolonger l’élan du jour.
Itinérant
de 5 à 6h d'activité par jour en moyenne ou un dénivelé moyen de 500 à 800m
Bien choisir le niveau de votre voyage
5 jours de marche.
Un trek sans portage, mais pas sans intensité. Chaque jour, on s’élance sur le Laugavegur, ce sentier emblématique des hautes terres. Balisé, oui, mais jamais figé : le guide ouvre la voie, parfois hors-trace, pour suivre l’élan du groupe et les caprices du ciel.
On marche léger, sac à dos réduit à l’essentiel : polaire, pluie, pique-nique, thermos, appareil photo. Le reste suit, transporté de refuge en refuge.
Le terrain est brut, contrasté, vivant : sable volcanique, mousses épaisses, roches noires, rivières à franchir. Peu de dénivelé, mais du relief, et parfois des pentes franches. Pas toujours de sentiers aménagés, on avance guidés par l’expérience du guide.
La météo ? Changeante, imprévisible, parfois rude. Soleil, pluie, vent, tout peut s’inviter dans une même journée. Il faut être prêt, physiquement et mentalement. Bien équipé, bien couvert, bien chaussé. C’est le prix à payer pour vivre l’Islande dans sa vérité.
Trois nuits à Reykjavík en guesthouse, en chambre twin avec sanitaires partagés. Un cocon simple, où l’on retrouve un peu de confort avant et après l’itinérance.
Quatre nuits en refuge, en dortoir, en sac de couchage. En été, ces abris sont très fréquentés, mais ils offrent l’essentiel : un toit, de l’eau, parfois une douche chaude. Les sanitaires sont parfois déportés, les cuisines équipées mais très occupées, mais l’ambiance est bonne.
Les dîners se prennent sous tente, à proximité du refuge. Un moment collectif, chaleureux, pour prolonger l’élan du jour.
Chaque jour, on se régale de produits frais et locaux : poisson pêché tout près, agneau élevé en plein air, légumes cultivés sous serre chauffée par géothermie. Tomates, poivrons, laitues, pommes de terre fermes et carottes parfumées nourrissent les assiettes du soir.
Les petits déjeuners et dîners sont préparés ensemble, sous la conduite du guide, et partagés sous la tente mess. Le midi, on pique-nique dehors, au rythme de la marche.
Merci de nous signaler toute allergie avant le départ.
Un accompagnateur islandais, francophone et anglophone, guide le groupe sur les sentiers et orchestre les repas avec l’aide de chacun.
Un chauffeur assure la logistique et transporte les bagages entre les refuges.
Les valises rigides sont à éviter : elles compliquent la manutention et ne résistent ni à la pluie ni à la poussière des pistes. Préférez un sac de voyage souple, robuste, qui ne craint ni l’humidité ni les chocs. À l’intérieur, protégez vos affaires dans des sacs plastiques solides.
Ne laissez rien de fragile dans votre bagage principal pendant la journée : matériel photo, objets sensibles… Si besoin, confiez-les directement au guide ou au chauffeur. Mais attention : en cas de casse, aucune responsabilité ne pourra être engagée.
Vols réguliers.
La couverture mobile progresse, mais reste incomplète. Sur la côte et le long de la route n°1, le signal est bon. Dans les hautes terres, il peut disparaître.
Pour recharger vos appareils, ne comptez pas sur les refuges : peu équipés, parfois sans accès libre à l’électricité. Certains proposent un service payant, mais mieux vaut prévoir des batteries de rechange.
Pendant les journées de marche, il n’y a pas de toilettes sur le parcours. On s’adapte, comme souvent en pleine nature.
À répartir en deux sacs : un sac à dos de randonnée (environ 40 litres) pour la journée, et un sac de voyage souple pour le reste.
Le sac à dos vous suit partout : en cabine, sur les sentiers, il contient vos affaires fragiles, de valeur, vos médicaments et l’essentiel pour marcher.
Le sac de voyage est transporté chaque jour par véhicule. Il doit être souple, résistant, et protégé de l’humidité. Évitez les valises rigides.
Pensez à étiqueter vos bagages avant le départ.
En avion, portez votre tenue de marche et gardez vos chaussures avec vous : en cas de retard de bagage, vous restez prêt à partir.
Les contrôles de sécurité sont stricts : couteaux, ciseaux, limes à ongles en soute.
Les liquides en cabine doivent être en flacons de 100 ml max, rangés dans un sac plastique transparent de 20 × 20 cm.
Exceptions : médicaments liquides (avec ordonnance) et aliments pour bébé (à goûter sur demande).
Au contrôle, présentez à part vos appareils électroniques, vos liquides, vos médicaments et vos achats en duty-free (sac scellé recommandé).
NB : Il est possible de laisser à Reykjavík un petit bagage contenant des affaires propres pour votre retour. Ce sac sera entreposé dans les locaux de notre correspondant local.
En Islande, le climat joue sa propre partition. Vent, pluie, soleil, froid : tout peut s’inviter dans une même journée. L’équipement fait la différence. Un vêtement mal choisi, et c’est tout le rythme du groupe qui s’en ressent.
Règle d’or : pas de coton. Préférez les fibres qui sèchent vite et gardent la chaleur (laine, synthétique, soie).
Pensez en couches, et anticipez le froid avant qu’il ne s’installe. Les vêtements ne réchauffent pas, ils conservent.
À prévoir :
• Bonnet épais + bonnet léger pour l’effort
• Casquette et cache-col
• Gants chauds + gants fins
• T-shirts respirants (pas de coton), sous-pull ou chemise manches longues
• Polaire épaisse + pull ou doudoune légère
• Veste imperméable et respirante (type Gore-tex)
• Pantalon de randonnée léger + pantalon de détente pour le soir
• Sur-pantalon imperméable (type Gore-tex)
• Maillot de bain
• Chaussettes de marche (Coolmax ou laine)
• Chaussures de randonnée solides, imperméables, bien rodées + lacets de rechange
• Chaussures détente pour le soir
• Chaussures ou chaussons en néoprène pour les gués (ou sandales bien fixées + chaussettes néoprène)
• Guêtres (facultatif)
Quelques indispensables pour marcher serein, bien protégé, et prêt à faire face aux imprévus :
• Lunettes de soleil de qualité, pour les lumières franches.
• Bâtons télescopiques (fortement recommandés) : ils soulagent les articulations et sécurisent les passages techniques.
• Gourde (minimum un litre), lampe frontale (à partir d’août), couteau de poche (en soute).
• Pochette étanche pour papiers et argent.
• Nécessaire de toilette avec produits biodégradables, serviette à séchage rapide.
• Boules Quies pour des nuits paisibles.
• Crème solaire et stick à lèvres.
• Jumelles (facultatif), nécessaire de couture, ruban adhésif type duct tape (enroulé autour d’un bâton ou crayon).
• Sacs étanches légers pour protéger vos affaires de l’humidité (facultatif).
Un sac de couchage avec un confort entre -5 et -10?°C est indispensable. Glissez-le dans un sac étanche : l’humidité est partout.
Les fibres synthétiques perdent en efficacité avec le temps. Un drap de sac en soie ou en polaire peut compenser et ajouter un peu de chaleur.
• Vos médicaments habituels
• Médicaments contre la douleur : paracétamol de préférence
• Bande adhésive élastique (type Elastoplast, en 6 cm de large)
• Jeux de pansements adhésifs + compresses désinfectantes
• Double peau (SOS Ampoules de marque Spenco, disponible en magasins de sport, en pharmacie, parapharmacie...)
• Une boîte de masques chirurgicaux ou ffp2 pour l'avion et les espaces où il est imposé
• Du gel hydroalcoolique
Une trousse de premiers secours, fournie par l'agence et adaptée à votre voyage, est placée sous la responsabilité de votre accompagnateur.
Carte nationale d´identité ou passeport, valides pour toute la durée du séjour, pour les ressortissants français, belges ou suisses. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Si vous voyagez avec vos enfants, sachez que, dorénavant, les mineurs, quel que soit leur âge, doivent eux aussi avoir un passeport individuel. La législation française stipule que les mineurs voyageant avec leurs deux parents, ou un seul des deux, n'ont pas besoin d'être en possession d'une autorisation de sortie du territoire. En revanche, ce document est obligatoire (depuis le 15 janvier 2017) si cette condition d'accompagnement n'est pas remplie. Dans ce dernier cas, l'enfant devra présenter : passeport (ou carte d'identité, selon les exigences du pays de destination) ; le formulaire d’autorisation de sortie du territoire, signé par l'un des parents titulaires de l'autorité parentale (le formulaire d’autorisation de sortie du territoire est accessible sur le site www.service-public.fr) ; une photocopie du titre d'identité du parent signataire.
Lorsqu’un mineur voyage avec l’un de ses parents dont il ne porte pas le nom, il est fortement conseillé soit de pouvoir prouver la filiation (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F15392), soit de présenter une autorisation de sortie du territoire (formulaire Cerfa n° 15646*01) dûment remplie et signée par l’autre parent avec copie de sa pièce d’identité. Cette autorisation ne dispense pas de l’accomplissement de toute autre formalité spécifique à la destination concernant les mineurs.
Depuis le 1er janvier 2014, les cartes nationales d’identité sécurisées françaises délivrées à des majeurs entre le 2 janvier 2004 et le 31 décembre 2013 ont automatiquement une durée de validité étendue de 5 ans, sans modification matérielle du titre. Ainsi, la carte d’une personne majeure au moment de la délivrance portant comme date de fin de validité le 23 avril 2014 sera en réalité valable jusqu’au 23 avril 2019. De façon à éviter tout désagrément pendant votre voyage (les autorités islandaises n'ayant pas précisé leur position quant à cette mesure), il vous est fortement recommandé de privilégier l’utilisation d’un passeport valide à une CNI portant une date de fin de validité dépassée, même si elle est considérée par les autorités françaises comme étant toujours en cours de validité.
Si vous voyagez uniquement avec votre carte nationale d’identité, vous pourrez télécharger et imprimer une notice multilingue expliquant ces nouvelles règles en allant à l'adresse suivante : http://media.interieur.gouv.fr/interieur/cni-15ans/document-a-telecharger-islande.pdf
De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les Etats-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent pouvoir les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination.
Pas de visa requis pour les ressortissants français, belges ou suisses. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Comme toujours et partout, il est important d’être protégé contre diphtérie, tétanos, coqueluche (dont la réapparition chez les adultes, même en France, justifie la vaccination pour tout voyage), poliomyélite, hépatites A et B.
Si, comme dans tous les pays d'Europe, le voyageur n'est pas exposé aux risques sanitaires « exotiques », les risques comportementaux ou environnementaux peuvent être les mêmes qu'ailleurs.
Les infrastructures sanitaires sont, bien sûr, satisfaisantes partout, mais le coût des soins dans certaines structures privées réclame que l’on vérifie toutes les clauses du contrat d´assurance-assistance souscrit avant le départ.
Malgré sa position aux portes du cercle polaire, l’Islande n’est pas un pays de glace. Le Gulf Stream adoucit les côtes, offrant un climat océanique tempéré : hivers modérés, étés frais. À Reykjavík, les températures oscillent entre zéro degré en janvier et douze en juillet.
Le vent est fréquent, parfois violent. La pluie plus présente au sud qu’au nord. Mais la vraie signature du climat islandais, c’est son instabilité. « Si vous n’aimez pas le temps, attendez une minute… » dit-on ici.
La lumière, elle, joue sa propre partition : peu de jour en hiver, mais un soleil quasi permanent de mai à août. Juin offre des clartés infinies. Les aurores boréales dansent dès septembre, culminent en décembre et janvier.
Pour suivre la météo, les rivières ou l’activité sismique, le site www.vedur.is est une référence (en islandais et en anglais).
L’Islande est un territoire brut, vivant, mais fragile. Sa végétation pousse lentement, ses mousses sont sensibles, ses sols vulnérables. On marche sur les sentiers quand ils existent, on évite les zones végétales dès que possible.
Tous les déchets sont ramenés, même les biodégradables : ici, la décomposition est lente, les bactéries rares. Mouchoirs, pelures, mégots… tout repart avec nous.
Cueillir une fleur, ramasser une pierre ? Interdit dans les réserves, les parcs, et dans l’esprit du voyage, partout ailleurs.
L’Islande mérite qu’on la traverse avec respect. En cas de doute, demandez conseil à votre guide.
Nous absorbons 100% des émissions de CO2 générées par le transport aérien et terrestre de votre voyage. Au travers de nos projets de reforestation, nous contribuons chaque année à la captation de centaines de milliers de tonnes de gaz à effet de serre, équivalent à la totalité des émissions liées à nos voyages. Ces projets sont toujours porteurs d'un objectif de développement économique autonome pour les populations locales. Pour en savoir plus www.insolitesbatisseurs.org
Nous avons toujours eu à cœur de développer un tourisme responsable. Depuis nos débuts, nous créons des voyages différents grâce à toutes les ressources de la terre, mais avec le devoir d'en assurer la pérennité pour les générations futures. Eau et énergie, rémunération et prévoyance, il y a tant à faire durant nos voyages ! Ainsi, nous œuvrons pour systématiser l'utilisation de ressources durables et pour limiter les impacts sociaux et environnementaux de notre activité.
Guides et cartes sont disponibles dans la Librairie de Voyageurs du Monde située au 48 rue Sainte-Anne 75002 Paris
Nous pensons qu’il est important que chaque voyageur soit informé des engagements que nous prenons pour un tourisme plus responsable ainsi que des axes d’améliorations que nous poursuivons sur chacun de nos voyages. Chaque année, nous auditons et évaluons nos pratiques sociales et environnementales en collaboration avec nos partenaires sur une dizaine de catégories en lien avec les 17 objectifs de développement durable (ODD) des Nations-Unis. Nous nous rendons régulièrement sur place afin de vérifier et d’améliorer continuellement notre démarche responsable.
Le bilan responsable de ce voyage
Nos engagements :
Afin d’éviter l’achat de bouteilles en plastique, nous conseillons à nos voyageurs d’apporter leur gourde.
Informations :
Plus de la moitié des guides travaillant sur ce voyage sont salariés par l'entreprise.
Nos engagements :
La rémunération moyenne d'un guide dans ce pays représente plus du double du salaire d'un instituteur. Afin de leur dégager un revenu stable toute l'année, nous organisons des voyages en moyenne et basse saisons.
La plupart de nos guides bénéficient d'un jour de repos minimum entre chaque circuit, même si la législation ne l'impose pas.
Les nouveaux guides doivent obligatoirement posséder un diplôme d'état pour exercer. Lors de leur formation, ils sont accompagnés par un guide expérimenté pendant au moins un circuit.
Nous formons régulièrement nos guides dans différents domaines : formation théorique en amont de la saison, premiers secours, etc.
Nos engagements :
La majorité de la nourriture est d'origine locale.
Afin de minimiser les emballages à usage unique, la nourriture est transportée dans des contenants réutilisables et consommée avec des couverts réutilisables.
Nos engagements :
La plupart de nos équipes locales sont couvertes par la sécurité sociale mise en place par l'État et perçoivent des aides concernant le congé parental. Notre partenaire s'efforce de fournir une couverture complémentaire avec une mutuelle ou une assurance de responsabilité civile.
Nos équipes à destination sont constituées d'autant de femmes, voire plus, que la moyenne nationale.
Nos axes d'amélioration :
Nous travaillons à sensibiliser nos voyageurs en amont sur l'importance de la tolérance et la diversité à destination, et travaillons en collaboration avec nos équipes partenaires pour formaliser cet engagement dans le personnel recruté.
Nos engagements :
Des poubelles sont mises à disposition lors des déplacements et dans les hébergements. Tous les déchets sont ensuite ramenés jusqu'à une déchetterie locale qui assure le recyclage.
Dans les zones sensibles, nos équipes organisent plusieurs fois par an des actions de ramassage des déchets.
Nos engagements :
Pour assurer un approvisionnement en électricité efficace et le moins polluant possible, des chantiers ont été mis en œuvre au sein des hébergements, en les équipant de panneaux solaires par exemple.
À leur arrivée sur place, nos guides et documents de voyage sensibilisent nos voyageurs aux comportements à adopter lors du séjour.
Informations :
Parmi les véhicules utilisés pour la logistique, tous sont encore à moteur thermique. À ce jour, nous n'avons pas trouvé d'alternatives à plus faible empreinte carbone.
Nos engagements :
Nos voyageurs sont sensibilisés aux gestes à faire pour respecter les animaux.
Afin d'éviter le surtourisme, nous favorisons les activités hors sentiers battus.
Nos guides et nos documents de voyage sensibilisent nos voyageurs aux bons gestes et au respect de la réglementation dans les parcs naturels.
Nos guides et nos documents de voyage sensibilisent nos voyageurs à la protection du littoral.
Pour 100 € payés sur ce voyage :
Notre approche :
Nous pensons qu’il est important que chaque voyageur soit informé de la décomposition du prix de nos voyages. Nous partageons ici cette information. Elle correspond à la moyenne observée ces 3 dernières années des coûts de tous les voyages de même catégorie (voyage en groupe, voyage en famille, voyage liberté, voyage sur mesure ou croisière) dans cette destination.
Un trek incroyable grâce à notre guide Christophe et un super chouette groupe
Très mauvais rapport qualité prix, refuges surboukés, grande promiscuité si groupe complet, mais le tout surtout du à la chèretèe de ce pays où les prix sont le double d'en france. A éviter donc, terdav propose des voyages bien plus interessants de mon point de vue.
Mon 1er Trek, mes premieres nuits en refuge.... un souvenir inoubliable qui me donne envie de repartir en famille! une guide de très haut vol (qui a dû être cuisinier dans un etablissement 4 etoiles!), des paysages à couper le souffle, on se sent seul au monde, en ayant l'impression d'etre les premiers à fouler cette terre! le tout avec un groupe vraiment tres sympa, tous aventuriers! j'en garde vraiment un souvenir incroyable
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