Cabotage autour du Spitzberg
A bord d'un vieux gréement, le "Rembrandt", qui a conservé toute son âme, vous serez en équipage limité pour profiter au mieux de cette croisière au départ de Longyearbyen. Le cabotage autour du Spitzberg nous fait suivre le "chemin des écoliers", loin de l’itinéraire des grands bateaux de croisière. Pas de programme figé heure par heure, mais une longue flânerie jusqu’aux limites de la banquise. L’équipage improvise des arrêts dans les fjords, en fonction de la météo, de l’état des glaces et de la connaissance des passages d’animaux (phoques et morses), des colonies d’oiseaux et surtout le seigneur des lieux, l'ours polaire, visible un peu partout dans l'archipel.
Nous nous déplaçons quelquefois en soirée, improvisant des quarts de veille et de barre, pour profiter ensuite de longues balades à terre. Les débarquements sont quotidiens, au moins une à deux fois par jour.
- Le tour complet de l'archipel à bord d'un vieux gréement
- Une capacité de 33 passagers à bord
- La navigation jusqu'aux limites de la banquise
- Des randonnées quotidiennes
Les niveaux du voyage
Niveau physique
Aucun niveau n’est requis, mais la navigation s’effectue sur une mer qui peut être agitée avec 1 à 2 nuits en pleine mer.
Engagement
Ce voyage peut nécessiter quelques efforts. Les conditions sont majoritairement bonnes et le programme comporte un peu de challenge. Le voyage demande une appétence pour la nouveauté. Il est accessible à une majorité de personnes.
Altitude
Moins de 1500 mètres
Départ pour le Spitzberg
Vol Paris/Oslo/Longyearbyen. Nuit à l'hôtel en Norvège (Oslo ou Longyearbyen selon l'itinéraire).
- en hôtel
Longyearbyen
Arrivée à Longyearbyen. Selon votre heure d'arrivée à Longyearbyen (la capitale administrative du Spitzberg) vous aurez la possibilité de visiter le musée du Svalbard. Transfert libre jusqu'au port. Embarquement en milieu d'après-midi et installation à bord du "Rembrandt Van Rijn". En soirée, le bateau met le cap sur Trygghamna (restes d'une ancienne station baleinière anglaise du XVIIe siècle).
- en bateau
Alkhornet - Forlandsundet
De Trygghamna, vous marchez jusqu’à Alkhornet, une grande falaise où nichent de nombreux oiseaux de mer. En dessous des falaises vous pourrez également voir des renards arctiques et des rennes. Navigation ensuite à travers le détroit de Forland et à Fuglehuken (lieu de débarquement de Willem Barentsz), où se trouvent des vestiges de tombes du XVIIe siècle. Vous pourrez observer des colonies de guillemots à miroir, de Brünnich et des mouettes tridactyles.
- en bateau
Vestiges des baleiniers
Naviguez dans Fuglefjorden duquel vous aurez une vue sur Svitjodbreen et Birgerbukta, deux zones de reproduction pour les grands labbes ainsi que des endroits probables pour observer les ours polaires. A Birgerbukta, vous pouvez voir des fours basques datant du XVIIe siècle, autrefois utilisés pour la cuisson de la graisse de baleine. L'objectif est ensuite de débarquer à Ytre Norskøya, une petite île qui a servi pendant de nombreuses années de point d'observation des baleiniers néerlandais. En prenant de la hauteur et en allant jusqu'au sommet de l’île, vous pouvez contempler les traces des baleiniers toujours visibles. Sur le rivage se trouvent les restes d'autres fours à graisse du XVIIe siècle, tandis que les labbes arctiques et les eiders à duvet se reproduisent parmi les tombes de quelque 200 baleiniers néerlandais.
- en bateau
Circumnavigation
Vous naviguez tout d'abord jusqu’à la plus grande toundra de Reinsdryrflya où des troupeaux de rennes sont visibles et peut-être des ours polaires. Plus à l'est, le Sorgfjord est occupé par un troupeau de morses et la baie de Murchison, grande toundra, est fréquentée par les rennes. Une station de recherche suédoise se trouve également à proximité.
Vous découvrez ensuite les falaises de granite et de glace du détroit d'Hinlopen ; le bateau progresse d'ailleurs entouré de falaises de glace. Escale à Lomfjord, magnifique fjord cerné de hautes montagnes. Augustabukta, est une belle crique entourée d'un glacier non crevassé, permettant ainsi de randonner sans difficulté.
Nos journées se déroulent en fonction de la météorologie, des conditions de mer et de glace et des centres d’intérêt : plages où les morses viennent se reposer, restes de banquise hivernale où les ours guettent leur proie, falaises à oiseaux ou encore sites historiques révélant l’épopée de la chasse à la baleine ou la vie des trappeurs. L'ours sera pratiquement omniprésent, d'autant qu'il est entièrement protégé dans l'archipel du Svalbard.
Nous longeons le front glaciaire de Brasvell puis gagnons la petite île de Wilhelmoya. Au cap Lee (extrémité ouest de l'île de Edgeoya), randonnée sur la toundra pour observer une colonie de mouettes tridactyles. Pour les bons marcheurs, la randonnée jusqu'à la baie de Diskobukta vaut le détour.
- en bateau
Hornsund et Bellsund
Durant les deux dernières journées nous faisons escale dans la baie de Hornsund et ses quatorze glaciers, dominée par le mont Hornsund qui culmine à 1431m et a donné le nom de "montagnes pointues" (ou Spitzberg) à la région. Arrêt dans le fjord Van Keulen, ancien lieu de chasse dans la baie de la Recherche (du nom du navire français qui naviguait dans les parages en 1837).
- en bateau
Remontée de l'Isfjord
Après avoir débarqué dans la baie de la Recherche, le bateau remonte l'Isfjord.
- en bateau
Longyearbyen - vol de retour
L'aventure prend fin. Débarquement à Longyearbyen en début de matinée et vol de retour. Transfert libre jusqu'à l'aéroport.
- Ce voyage permet de découvrir les régions polaires à bord d'un vieux gréement. Le programme définitif est déterminé à bord par le commandant du navire et le chef d’expédition. L'itinéraire n'est donc donné qu'à titre indicatif et peut être modifié en fonction des conditions météorologiques et de la présence de la faune.
Dans cette région, les conditions climatiques ou de glace peuvent changer très vite et remettre en cause une sortie en bateau pneumatique. Il en est de même face à la présence des ours sur les lieux de débarquement. Aucun débarquement ne pourra être garanti. La priorité sera avant tout votre sécurité.
L’expérience dans les eaux polaires nous montre qu’un programme flexible est essentiel : il s’agit de considérer l’itinéraire prédéfini comme une trame qui favorise les rencontres improvisées et non comme un horaire à suivre à la lettre. Deux voyages ne sont jamais identiques, il y a toujours une part d’imprévu importante.
Aucune date n'est actuellement programmée pour ce voyage. Pour plus d'informations :
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Le vieux gréement Rembrandt van Rijn est un ancien lougre construit au début du siècle dernier, qui a été réaménagé en goélette trois-mâts à passagers. Il a navigué aux Pays-Bas (1994), au Spitzberg (1994 - 1996) et aux Galápagos (1998 - 2001) puis il a subi une reconstruction complète et un programme de rénovation jusqu'en 2011.
Le "Rembrandt" est adapté aux croisières expédition, et notamment à la navigation entre les îlots des côtes groenlandaises. Lors de sa refonte, l'étrave du navire a été renforcée, elle est donc adaptée à la navigation dans les eaux de l'Arctique.
Capacité : 33 passagers.
Equipage : 10 membres d’équipage, 2 guides.
L’équipage, le personnel de cabine et d’hôtellerie sont tous anglophones.
Catégories de cabine :
- 1 cabine triple avec hublot, sanitaires privés (10.80m²)
- 6 cabines doubles intérieures, sanitaires privés (6.21m²)
- 9 cabines doubles avec hublot, sanitaires privés (6.76m²)
Les cabines sont équipées de 2 couchettes superposées. La plupart des cabines doubles avec hublot disposent d'un grand lit bas + 1 couchette en hauteur. Veuillez noter que le hublot ne donne pas une grande visibilité sur l'extérieur et qu'il s'agit principalement d'un puit de lumière.
Le linge de lit et les serviettes de toilette sont fournis à bord.
Le bateau dispose d'un bar et d'un restaurant qui est aussi utilisé pour les conférences. Pas de service de blanchisserie à bord.
Les deux bateaux pneumatiques permettent des débarquements et des possibilités d'observations de la faune dans des zones inaccessibles autrement.
Pour plus d'informations sur le voilier, consultez sur notre site l'onglet "Le bateau"
- Code voyage : SPZ504 À savoir avant de partir
- Navigation
- Observation animalière
- Randonnée
- Terres Polaires
Itinérant
de 0 à 4h d'activité par jour en moyenne avec un dénivelé moyen pouvant aller jusqu'à 300m
Bien choisir le niveau de votre voyage
Le jour de l'embarquement et du débarquement, le bateau pouvant être au mouillage, prévoir une tenue imperméable pour le transfert en bateau pneumatique (veste et pantalon).
Nous insistons sur le caractère "expédition" d’un tel voyage. L'itinéraire sera adapté en fonction des conditions météorologiques, de la situation des glaces et des rencontres avec la vie sauvage, afin de vous offrir la meilleure expérience polaire possible.
Durant le séjour, les navigations sont généralement de courte durée, et nous privilégions les débarquements quotidiens, sans difficulté particulière. Le programme sera orienté sur la découverte de sites historiques, l'observation de la faune et de la flore, et dans une moindre mesure, la visite de stations scientifiques.
Chaque sortie à terre dure 3h à 4h environ (ou 1h à 1h30 pour une sortie en bateau pneumatique). Différents groupes de niveau de marche sont constitués à terre, lorsque cela est possible. Vous avez la possibilité de changer de groupe d’une sortie à l’autre, en fonction de vos envies.
Gardez à l'esprit qu'aucun voyage n'est identique. C’est votre voyage, votre aventure.
Le vieux gréement Rembrandt van Rijn est un ancien lougre construit au début du siècle dernier, qui a été réaménagé en goélette trois-mâts à passagers. Il a navigué aux Pays-Bas (1994), au Spitzberg (1994 - 1996) et aux Galápagos (1998 - 2001) puis il a subi une reconstruction complète et un programme de rénovation jusqu'en 2011.
Le "Rembrandt" est adapté aux croisières expédition, et notamment à la navigation entre les îlots des côtes groenlandaises. Lors de sa refonte, l'étrave du navire a été renforcée, elle est donc adaptée à la navigation dans les eaux de l'Arctique.
Capacité : 33 passagers.
Equipage : 10 membres d’équipage, 2 guides.
L’équipage, le personnel de cabine et d’hôtellerie sont tous anglophones.
Catégories de cabine :
- 1 cabine triple avec hublot, sanitaires privés (10.80m²)
- 6 cabines doubles intérieures, sanitaires privés (6.21m²)
- 9 cabines doubles avec hublot, sanitaires privés (6.76m²)
Les cabines sont équipées de 2 couchettes superposées. La plupart des cabines doubles avec hublot disposent d'un grand lit bas + 1 couchette en hauteur. Veuillez noter que le hublot ne donne pas une grande visibilité sur l'extérieur et qu'il s'agit principalement d'un puit de lumière.
Le linge de lit et les serviettes de toilette sont fournis à bord.
Le bateau dispose d'un bar et d'un restaurant qui est aussi utilisé pour les conférences. Pas de service de blanchisserie à bord.
Les deux bateaux pneumatiques permettent des débarquements et des possibilités d'observations de la faune dans des zones inaccessibles autrement.
Pour plus d'informations sur le voilier, consultez sur notre site l'onglet "Le bateau"
Pension complète à bord du bateau (hors boissons).
Vous êtes accueilli sur un bateau hollandais. Le chef prépare une cuisine internationale avec des repas copieux et variés, servis sous forme de buffet dans le restaurant.
Service de bar (en supplément) : Boissons non alcoolisées (jus, sodas), bières et une sélection de vins et de liqueurs. Vous n’êtes pas autorisé à apporter des boissons alcoolisées à bord.
A tout moment, il est possible de se servir gratuitement boissons chaudes et eau.
Anglophone.
Les transferts à Oslo et à Longyearbyen ne sont pas inclus.
A Longyearbyen, compter 5 à 10 minutes de transport depuis l’aéroport vers le port de Bykaia. Le quai se trouve à 15 minutes de marche du centre-ville de Longyearbyen.
Transfert en bus : 100 NOK soit 9€ environ.
Transfert en taxi : 150NOK à 200 NOK soit 14€ à 18€ environ.
A noter : Vous n'êtes pas autorisé à circuler à pied entre l'aéroport du Svalbard et le centre de Longyearbyen sans être accompagné par un guide armé (risque de présence d'ours).
Vols avec escale sur compagnie régulière (Scandinavian Airlines ou Norwegian).
Pour les départs de province, prévoir des billets d'avion (ou de train) modifiables et avec une marge de temps suffisante pour parer à tout retard de vols intérieurs, des mauvaises conditions climatiques, grèves ou manifestations bloquant les routes. Les horaires de vols peuvent être modifiés par la compagnie aérienne sans préavis. Prévoir l'arrivée à l'aéroport au minimum 3 heures avant l'heure de décollage.
Nous pouvons nous charger de la réservation de votre acheminement.
La croisière ne présente pas de difficulté physique particulière. De manière générale vous devez être en bonne santé, capable de marcher en terrain accidenté et de vous déplacer sans assistance, d’emprunter l’échelle, et enjamber les flotteurs des bateaux pneumatiques.
Après votre inscription, un questionnaire de santé à l'attention du médecin de bord vous sera envoyé par email.
Décalage horaire : Le Svalbard se trouve sur le fuseau horaire du reste de la Norvège, identique à celui de la France.
Durée du vol : Environ 2h15 pour un Paris/Oslo et 3h pour un Oslo/Longyearbyen.
Courant électrique : Le bateau est équipé de prises européennes (220 volts/50 Hertz).
Vous devez conditionner l’ensemble de vos affaires en 2 sacs : 1 sac à dos et 1 grand sac de voyage souple.
1 - Le sac à dos :
Sac à dos de randonnée d’une capacité de 25 litres environ, il vous sera utile pour le transport de vos affaires personnelles durant la journée.
Il vous servira aussi en tant que bagage à main lors de vos déplacements pour toutes vos affaires fragiles (appareil photo…), de valeur (lorsque votre hébergement ne dispose pas de coffre-fort) et pour vos éventuels médicaments.
Il sera en cabine lors des transports aériens. Généralement, le poids des bagages cabine est limité à 10 kg par personne.
2 - Le grand sac de voyage :
Il doit contenir le reste de vos affaires. Il sera en soute lors des transports aériens. Le poids des bagages en soute vous sera indiqué sur votre convocation ou billet.
Nos recommandations si vous prenez l’avion :
Enregistrez en bagage en soute le maximum de choses et ne conservez dans votre bagage à main que ce qui est absolument indispensable à votre voyage.
Equipez-vous pour l'avion de votre tenue de randonnée et prenez vos affaires de première nécessité (en cas de problème d'acheminement de vos bagages).
Merci de noter que les contrôles de sécurité sont devenus très stricts aux aéroports : mettez les couteaux, ciseaux, limes à ongles et piles de rechange dans votre sac de soute.
Quels sont les produits liquides interdits en cabine ?
Les liquides, aérosols, gels et substances pâteuses : eau minérale, parfums, boissons, lotions, crèmes, gels douche, shampoings, mascara, soupes, sirops, dentifrice, savons liquides, déodorants… sauf s’ils sont rangés dans un sac en plastique transparent fermé, d’un format d’environ 20 cm x 20 cm (type sachet de congélation) et qu’ils sont conditionnés dans des flacons ou tubes de 100ml maximum chacun. Un sachet peut contenir plusieurs tubes, flacons,…
Quelles sont les exceptions autorisées en cabine ?
- Les médicaments liquides (insuline, sirops…) : vous pouvez les emporter en cabine à condition de présenter aux agents de sûreté une attestation ou une ordonnance à votre nom. Il n’y a aucune restriction pour les médicaments solides (comprimés et gélules).
- Les aliments liquides pour bébés : il n’y a pas de restriction sur ces produits. Pensez à prendre des contenants qui se referment : il pourra en effet vous être demandé de goûter ces aliments !
Comment se fait le passage du contrôle de sûreté ?
- Retirez votre veste ou votre manteau.
- Présentez à part :
- Tous vos grands appareils électriques : ordinateur portable, gros appareil photo numérique, lecteur DVD…
- Votre sac plastique transparent contenant vos flacons et tubes.
- Vos médicaments accompagnés d’une ordonnance ou d’une attestation.
- Vos aliments liquides pour bébé.
- Vos achats réalisés dans les boutiques des aéroports doivent être mis sous sac plastique scellé mais toutes les boutiques ne proposent pas ce sac : renseignez-vous avant de faire vos achats.
- Les achats de liquides réalisés après le contrôle de sûreté s’effectuent librement sous réserve des limitations douanières ; attention cependant aux correspondances.
Le choix vestimentaire pour les climats froids demeure très personnel. Il dépend de votre adaptabilité et de votre sensibilité au froid. Pour votre confort et sécurité, évitez d’être mouillé (que ce soit par la transpiration, la pluie, des bottes inadaptées ou des embruns). Apportez des vêtements protégeant de l’eau et du vent. Evitez les vêtements trop serrés qui ne laissent plus de place pour l’air : l’air est un très bon isolant thermique. Les fibres synthétiques, telle que la fibre polaire retiennent mieux la chaleur que le coton. Pour la veste et le pantalon, le Gore-tex et les tissus similaires sont résistants à l’eau et respirants.
Le secret pour rester bien couvert est le "principe des 3 couches". Autrement dit, il vaut mieux porter plusieurs couches légères qu’une seule importante : vous pouvez enlever une de ces couches si vous avez trop chaud ou en remettre une si vous avez froid.
La couche la plus importante est l’externe, qui doit être résistante à l’eau et au vent car un petit vent de 6 km/h peut entraîner une déperdition de chaleur huit fois plus importante que sans vent. Un dicton habituel dans l’Arctique : "Il n’y a rien d’aussi mauvais que le mauvais temps, sauf d’être mal habillé". La chaleur corporelle est plus facilement perdue par les parties du corps qui ont beaucoup de surface mais peu de masse : les extrémités. Gardez-les à la chaleur et au sec.
Si le reste de votre corps est couvert, vous pouvez néanmoins perdre 90% de la chaleur par la tête. Assurez-vous de porter un bonnet, un passe-montagne ou une cagoule. Ils peuvent être abaissés afin de protéger vos oreilles, le front, le cou et le menton.
Lorsque vous préparez votre sac, n’emportez pas trop de vêtements ou d’équipements. Sélectionnez ce qui est essentiel pour votre voyage, incluant :
- Une veste imperméable munie d’une capuche. Cette veste est la couche de vêtements la plus importante pour se protéger de la pluie et du vent.
- Les doudounes molletonnées fines et légères, vestes ou sweat-shirts en polaire sont idéaux à porter sous votre veste imperméable, par-dessus un sous-vêtement plus près du corps.
- Sous-vêtements thermiques manches longues, en fibre synthétique ou naturelle.
- Un pantalon ou surpantalon imperméable est indispensable pour les sorties en bateau pneumatique : il gardera votre sous-couche au sec et au chaud.
- Un pantalon chaud et robuste à porter en dessous du pantalon imperméable (type pantalon de randonnée, jogging, legging polaire)
- Jeans ou pantalons classiques pour la vie à bord du bateau.
- Moufles et gants. Garder ses mains au chaud et au sec est important. Des gants fins en polaire, en laine mérinos, ou des sous-gants en soie peuvent être portés sous des moufles. Vous pourrez ainsi retirer les moufles lorsque vous prenez des photos, et rester protégé du froid.
- Un bonnet chaud et un cache cou (nous déconseillons les écharpes pour des raisons de sécurité à bord des bateaux pneumatiques).
- Des chaussettes robustes, de grandes chaussettes en laine sur une paire plus fine en polypropylène ou coton/laine pour l’isolation des pieds.
- Pour la vie à bord, nous vous conseillons des chaussures confortables et rapides à enfiler (de type baskets).
- Une paire de bottes en caoutchouc imperméables, rigides, chaudes et confortables avec une semelle antidérapante robuste est essentielle pour les accostages : vous pouvez descendre du bateau pneumatique dans des endroits où il y a plusieurs centimètres d’eau glacée. Les bottes doivent recouvrir le mollet (bottes de chasse ou de pêche recommandées). Pas de possibilité de prêt de bottes à bord.
- Une paire de chaussures de randonnée robustes est recommandée pour les activités à terre. Optez pour des chaussures légères et adaptées aux terrains inégaux, rocailleux et/ou spongieux. Attention, vous devrez porter vos bottes lors des débarquements, changer de chaussures une fois à terre puis transporter vos bottes avec vous durant la sortie. En effet, il n’est pas sûr d’embarquer et de débarquer au même endroit. Vous pouvez également utiliser vos bottes en caoutchouc pour marcher si celles-ci sont suffisamment confortables.
- Un sac à dos avec protection étanche de 25 à 30L pour les débarquements
- De bonnes jumelles pour observer la faune (type 8×32, 8x42 ou 10×42)
- Des lunettes de soleil (haute qualité) et la crème solaire (notez que la réverbération sur l’eau et la neige/glace peut pénétrer même si le ciel est couvert)
- Uniquement si vous en avez l’habitude, prenez vos bâtons télescopiques de marche (les embouts en plastique protégeant les pointes sont obligatoires pour préserver l’environnement fragile du Svalbard)
- Des bouchons d’oreilles si vous êtes sensibles aux « petits bruits » la nuit.
- Une gourde
La navigation à bord d'un vieux gréement reste généralement plus mouvementée qu'à bord d'un navire d'expédition de plus grande taille.
Si vous êtes sensibles au mal de mer, rapprochez-vous de votre médecin généraliste avant le départ.
Un questionnaire d’informations personnelles et médicales à remplir en ligne est demandé par la compagnie maritime, celui-ci devra être complété au plus tard 1 mois avant votre départ. Notre équipe vous fera parvenir un lien vers votre formulaire par email.
Passeport valide pour les ressortissants de l’Union Européenne. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Afin de parer à toute éventualité, on veillera à disposer d’un passeport comportant le nombre de pages vierges requis ou suffisant (généralement 3, dont 2 en vis-à-vis).
Si vous voyagez avec vos enfants, sachez que, dorénavant, les mineurs, quel que soit leur âge, doivent eux aussi avoir un passeport individuel. La législation française stipule que les mineurs voyageant avec leurs deux parents, ou un seul des deux, n'ont pas besoin d'être en possession d'une autorisation de sortie du territoire. En revanche, ce document est obligatoire (depuis le 15 janvier 2017) si cette condition d'accompagnement n'est pas remplie. Dans ce dernier cas, l'enfant devra présenter : passeport (ou carte d'identité, selon les exigences du pays de destination) ; le formulaire d’autorisation de sortie du territoire, signé par l'un des parents titulaires de l'autorité parentale (le formulaire d’autorisation de sortie du territoire est accessible sur le site www.service-public.fr) ; une photocopie du titre d'identité du parent signataire.
Lorsqu’un mineur voyage avec l’un de ses parents dont il ne porte pas le nom, il est fortement conseillé soit de pouvoir prouver la filiation (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F15392), soit de présenter une autorisation de sortie du territoire (formulaire Cerfa n° 15646*01) dûment remplie et signée par l’autre parent avec copie de sa pièce d’identité. Cette autorisation ne dispense pas de l’accomplissement de toute autre formalité spécifique à la destination concernant les mineurs.
De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les Etats-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent pouvoir les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination.
Pas de visa pour les ressortissants de l’Union Européenne. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Aucune vaccination obligatoire.
Comme partout, il est important d'être immunisé contre :
- diphtérie ;
- tétanos (complication possible de gelures graves) ;
- poliomyélite ;
- coqueluche (dont la réapparition chez les adultes, même en France, justifie la vaccination pour tout voyage) ;
- hépatite B (maladie sexuellement transmissible) ;
- hépatite A (maladie transmise par l'alimentation) ;
- éventuellement contre la rage, pour des séjours plus longs et rustiques que les voyages touristiques ordinaires.
Ils sont, bien sûr, très différents en fonction des conditions du voyage (durée, hébergement, déplacement) et peuvent être dus : à la région elle-même ; aux conditions climatiques parfois extrêmes ; aux moyens de déplacement utilisés sur place.
La région.
Si, l’hiver, la circulation des microbes et des virus se fait plus difficilement que dans les zones tempérées ou chaudes, l’été, leur transmission d'homme à homme, de l'animal à l'homme ou des aliments à l'homme est un risque non négligeable. Risque, en particulier, de toxi-infections alimentaires dues aux viandes de chasse, aux aliments contaminés par des déjections d'animaux sauvages ou par leur mauvaise conservation à bord des bateaux de croisières.
Les conditions climatiques.
L'extrême rigueur des hivers péri-polaires représente un risque lors de raids à ski, en raquettes, en traîneau ou à motoneige, plus que lors de confortables croisières.
Une bonne information avant le voyage, permettra d'éviter les gelures graves.
En cas d'onglée ou d'engourdissement, il faut :
- boire abondamment,
- réchauffer,
- ne pas fumer,
- ne pas ôter les chaussures (risque de ne pas pouvoir les remettre si le raid n'est pas terminé).
En cas de lésions plus avancées (douleur, doigt « mort », œdème, nécrose), l’évacuation vers un centre spécialisé est une urgence.
Moyens de déplacement.
Les voyages dans les régions polaires se font souvent en bateau de croisière. Les risques, liés surtout au confinement en espace clos, sont (quelle que soit la latitude) de toutes les affections contagieuses, respiratoires, alimentaires…
Il y a en général, et bien que la législation maritime soit floue à ce sujet, un médecin à bord (dont les consultations ne sont pas comprises dans le prix du voyage). Il est important de se faire préciser tout cela avant le départ.
Climat
L’été connaît une faible amplitude thermique. Du fait de l’absence de nuit, la température est beaucoup plus stable.
Sur la côte ouest, partie la plus douce, la moyenne est d’environ 5°C avec des valeurs variant entre 1° et 10°C. Le maximum enregistré est de 17°C. Il est courant d’observer de courtes périodes de gel en plein été.
Les précipitations sont peu abondantes, environ 40mm par an sur la côte ouest et un peu moins à l’intérieur de l’archipel. La saison la plus humide est l’automne. Avec des valeurs pourtant basses par rapport aux pays tempérés, le Svalbard est une des régions arctiques les plus humides.
En raison de la latitude du Svalbard, l’alternance jour/nuit n’est pas la même que sous nos latitudes. En été le soleil est en permanence au-dessus de l’horizon alors qu’en hiver la nuit est continuelle. Le passage du jour à la nuit est d’autant plus rapide que la latitude est élevée.
Les glaces
60% de l’archipel sont recouverts de glaciers. Les plus grandes calottes polaires se trouvent dans le nord-est, particulièrement sur Norsaustlandet. Alors que l’île la plus au nord (Kvitøya) est totalement recouverte de glace, la plus au sud (Bjørnøya) est dépourvue de glaciers. Les régions les moins glacées du Spitzberg sont le Nordenskiöld Land (près de Longyearbyen) et Andree Land au nord. Ce sont les zones au climat plus continental, c’est-à-dire moins humide et plus ensoleillé.
Depuis le XIXe siècle, la plupart des glaciers ont nettement reculé. De grandes moraines marquent leur extension maximale nettement au-delà de leur front actuel. En général, ces variations sont de bons indices du climat. Au Svalbard, les glaciers peuvent brusquement avancer de plusieurs kilomètres à raison de 30 à 40m par jour, puis se stabiliser et rester immobiles pendant des années. Ce phénomène qui reste mal connu et difficilement expliqué, s’appelle "surge". Récemment les glaciers ont reculé, ce qui occasionne des erreurs sur les cartes actuelles qui placent le front en avant de sa position actuelle. Leur position est donc à prendre avec une certaine réserve.
Les glaciers se terminant dans la mer génèrent des icebergs. Ils sont beaucoup plus petits au Svalbard que ceux que l’on rencontre au Groenland ou en Antarctique. La banquise a son extension maximale en avril. En moyenne l’ensemble de l’archipel, excepté Bjørnøya au sud, est bloqué par la glace en hiver. Sur la côte ouest, seule une faible largeur (environ 50 km) est recouverte mais le nord-ouest est souvent dégagé, même en hiver. En août, la banquise est à son minima. Les conditions de glace sont variables d’une année sur l’autre et d’une période à l’autre. Il suffit d’un coup de vent pour chasser la glace au large ou au contraire bloquer une partie de la côte.
La faune
Il y existe trois espèces de mammifères originaires du Svalbard : le renard arctique, le renne du Svalbard et l’ours polaire.
Le renard se trouve partout au Svalbard. Le renne, bien représenté à l’origine, a été chassé massivement jusqu’en 1920. En 1925 une protection totale a été décidée. L’ours a pour territoire la glace mouvante mais on le rencontre souvent sur la terre ferme en hiver. La chasse a été réglementée en 1970 puis totalement interdite en 1976. On croise des ours blancs sur tout l’archipel, notamment le long des côtes orientales et septentrionales. Un ours affamé peut être agressif et dangereux pour les êtres humains. Soyez donc circonspects lors de vos randonnées pédestres. Une arme est obligatoire lors des excursions.
En mer, on croise surtout des phoques annelés (leur nom vient des dessins en forme d’anneaux qu’ils portent sur le dos), appelés aussi phoques marbrés. Le phoque barbu, beaucoup plus grand (200 à 300 kg pour près de 3m de long) n’est pas très sauvage et se laisse facilement approcher. Le morse avait presque disparu dans les années 50 jusqu’à ce que le gouvernement norvégien décide de sa protection. Il a réinvesti le nord de l’archipel autour de l’île de Moffen et dans le goulet entre le Spitzberg et l’île du Roi Charles.
Le Spitzberg est parfois surnommé "Galápagos de l'Arctique" tant la densité d'oiseaux est importante. Beaucoup d'oiseaux de mer viennent s'y reproduire durant le court été arctique. Les oiseaux sont particulièrement bien représentés en quantité et en variété. Le lagopède réside toute l’année au Svalbard. A l’approche de l’été, des millions d’oiseaux viennent nicher. On peut citer : le guillemot de Brünnich et le guillemot à miroir, le mergule nain, le macareux moine, la mouette tridactyle, le goéland sénateur, la sterne arctique (l’oiseau qui fait la plus grande migration puisqu’on la retrouve en Antarctique), le labbe parasite, le pétrel fulmar, l’eider à duvet, la bernache nonnette, l’oie à bec court, le bruant des neiges, le plongeon catmarin, le bécasseau violet, le phalarope à bec étroit...
Pour notre bonheur, les moustiques n’ont pas envahi le Svalbard.
Les cétacés avaient disparu, massacrés par les chasseurs baleiniers du XVIIe siècle. Néanmoins on peut observer des groupes de bélugas le long des côtes et au fond des fjords. Les rorquals, les baleines à bosse et même les baleines bleues sont régulièrement observées chaque été le long des côtes du Svalbard, plus particulièrement dans les archipels de l'Est.
La flore
En raison du sous-sol gelé en permanence, l’eau ne peut s’infiltrer, ce qui donne un sol souvent marécageux, surtout en zone plane. La saison de dégel ne dure que de 6 à 10 semaines. Dans ces conditions aucun arbre, au sens ou nous le connaissons, ne pousse. Mais la végétation s'est adaptée au climat. Le saule arctique et le bouleau nain ne mesurent que quelques centimètres de hauteur, de même que l’ensemble de la végétation qui reste au ras du sol pour se protéger du vent et profiter au maximum des rayons du soleil. Les zones les plus prisées par la végétation sont les éboulis aux pieds des falaises où nichent les oiseaux. Les déjections y apportent de la matière nutritive favorable au développement des mousses et des lichens. C’est un signe repérable pour localiser les colonies. La région centrale du Spitzberg représente à elle seule 75% des 170 espèces présentes. Il est interdit de prélever, cueillir ou détruire toute végétation. De plus il faut se déplacer sur cette végétation fragile avec beaucoup de précaution car elle met de nombreuses années à pousser.
Protection des vestiges culturels
Ils peuvent être divisés en 3 catégories principales :
- les traces laissées au XVIIe siècle par la pêche aux baleines
- les restes de l’activité des trappeurs
- les vestiges des premières activités industrielles au Svalbard
On trouve de même les traces des opérations de guerre dans l’archipel.
Protection de l’environnement
L’environnement du Svalbard est vulnérable. La vie animale et végétale se sont adaptées aux dures conditions des régions arctiques. Même de petites interventions humaines peuvent avoir de graves conséquences pour le fragile équilibre écologique. C’est pourquoi il est essentiel que les visiteurs connaissent les règles de déplacement sur l’archipel et qu’ils les respectent. Il a été créé 3 parcs nationaux, 3 réserves naturelles, 15 réserves d’oiseaux et 3 régions de protection des plantes.
Dans les parcs nationaux et les réserves, il est interdit d’utiliser des véhicules tout terrain ou d’atterrir en avion ou hélicoptère, sans autorisation préalable du gouverneur. Tout déplacement à l’intérieur d’une limite de 300 mètres autour des réserves d’oiseaux est interdite. Vous devez être très respectueux des zones de nidification. Ne pas jeter vos mégots de cigarettes. Ne pas laisser de graffitis sur les roches ou les bâtiments. Ne pas collecter ou emporter de spécimens biologiques ou géologiques, tels que des roches, des ossements, des œufs, des fossiles ou des restes des habitations anciennes.
La compagnie maritime, membre de l' AECO (Association of Arctic Expedition Cruise Operators), s'engage à suivre les directives de l'association pour les visiteurs concernant la préservation de l'environnement et la sécurité au Svalbard. Cette association internationale regroupe les organisateurs de croisières d'expéditions dans l'Arctique.
A bord, l’équipage s’engage à strictement respecter la réglementation SOLAS et MARPOL (Marine Pollution Prevention) :
- Aucun déchet n’est rejeté à la mer.
- Les bateaux sont équipés d’un grand réservoir d’eaux usées et aucun rejet liquide n’est effectué à proximité des côtes, notamment en Arctique et Antarctique.
- Les ordures ménagères ne sont pas brûlées dans un incinérateur mais conservées dans une chambre froide, avant d’être débarquées à terre, dans les infrastructures portuaires adéquates.
- La peinture de coque, avec durcisseur, possède une durée de vie plus longue, et permet d’utiliser moins de peinture.
- Aucune boue, vidange n’est effectuée en mer. Les eaux noires sont stockées dans des réservoirs spéciaux en attendant de pouvoir les débarquer dans des ports avec infrastructure suffisante.
- Les bateaux sont équipés de moteurs électriques, ce qui permet une plus grande flexibilité sur le nombre de moteurs en utilisation, moins de consommation et donc moins de rejet dans l’air, ou consomme du MGO (marine gas-oil) fuel plus léger, réduisant la pollution par les gaz d’échappement.
Une compagnie soucieuse de l'environnement :
- Shampooing et savon biodégradables dans les cabines
- Le détergeant utilisé est décliné "gamme verte" selon la certification européenne
- Les t-shirts et polos en vente à la boutique sont 100% recyclables.
Nous absorbons 100% des émissions de CO2 générées par le transport aérien et terrestre de votre voyage. Au travers de nos projets de reforestation, nous contribuons chaque année à la captation de centaines de milliers de tonnes de gaz à effet de serre, équivalent à la totalité des émissions liées à nos voyages. Ces projets sont toujours porteurs d'un objectif de développement économique autonome pour les populations locales. Pour en savoir plus www.insolitesbatisseurs.org
Nous avons toujours eu à cœur de développer un tourisme responsable. Depuis nos débuts, nous créons des voyages différents grâce à toutes les ressources de la terre, mais avec le devoir d'en assurer la pérennité pour les générations futures. Eau et énergie, rémunération et prévoyance, il y a tant à faire durant nos voyages ! Ainsi, nous œuvrons pour systématiser l'utilisation de ressources durables et pour limiter les impacts sociaux et environnementaux de notre activité.
Guides et cartes sont disponibles dans la Librairie de Voyageurs du Monde située au 48 rue Sainte-Anne 75002 Paris
Albert 1er de Monaco
Mémoires d'un navigateur, Ed. Presses de la Renaissance, 2006.
Andrée, Strinberg, Fraenkel
Le drame de l'expédition d'Andree, Ed. plon, 1931.
Isabelle Autissier et Erik Orsenna
Passer par le Nord, la nouvelle route maritime, Ed. Paulsen, 2014.
Jean Jouzel, Claude Lorius et Dominique Raynaud
Planète blanche, Ed. Odile Jacob, 2008.
Claude Lorius
Voyage dans l'Anthropocène, Ed. Actes Sud, 2010.
Gérard Bodineau
Spitzberg, l’archipel du Svalbard, Guides Grand Nord Grand Large, Ed. 2017.
Gérard Bodineau & Nathalie Thibault
Faune et Flore du Grand Nord, Ed. Delachaux & Niestlé, 2022.
Anne Ragde
Zona Frigida, Ed. Balland, 2011.
Rémy Marion
Sur les traces de l’ours polaire, Ed. Nanouk Communication, 1999.
Géopolitique de l'Ours polaire, Ed. Hesse, 2015.
Vsevolod Romanovskiy
Le Spitzberg et les baleiniers basques, Ed. Atlantica, 1999.
Willem Barentsz
Prisonniers des glaces (1594-1595), Ed. Chandeigne, 1996.
Nous pensons qu’il est important que chaque voyageur soit informé des engagements que nous prenons pour un tourisme plus responsable ainsi que des axes d’améliorations que nous poursuivons sur chacun de nos voyages. Chaque année, nous auditons et évaluons nos pratiques sociales et environnementales en collaboration avec nos partenaires sur une dizaine de catégories en lien avec les 17 objectifs de développement durable (ODD) des Nations-Unis. Nous nous rendons régulièrement sur place afin de vérifier et d’améliorer continuellement notre démarche responsable.
Le bilan responsable de ce voyage
Nos engagements :
Compte tenu de la raréfaction de l'eau dans cette région, nous sensibilisons en amont nos voyageurs sur leur consommation d'eau et nous pouvons être amenés à mettre en place des mesures préventives comme des sabliers dans les douches par exemple.
Afin d’éviter l’achat de bouteilles en plastique, nous donnons ou prêtons des gourdes à nos voyageurs.
Informations :
Un peu moins de la moitié des guides travaillant sur ce voyage sont salariés par l'entreprise.
Nos engagements :
Nous formons régulièrement nos guides dans différents domaines : formation théorique en amont de la saison, premiers secours, etc.
La rémunération moyenne d'un guide dans ce pays représente plus du double du salaire d'un instituteur. Afin de leur dégager un revenu stable toute l'année, nous organisons des voyages en moyenne et basse saisons.
Lors de leur formation, nos nouveaux guides sont accompagnés par un guide expérimenté pendant plusieurs circuits.
Nos engagements :
Notre partenaire s'efforce de fournir une couverture complémentaire avec une mutuelle ou une assurance de responsabilité civile.
Nos axes d'amélioration :
Nous travaillons à sensibiliser nos voyageurs en amont sur l'importance de la tolérance et la diversité à destination, et travaillons en collaboration avec nos équipes partenaires pour formaliser cet engagement dans le personnel recruté.
Nos équipes partenaires n'atteignent pas encore la moyenne nationale en termes de parité homme/femme.
Nos engagements :
Dans les zones sensibles, nos équipes organisent plusieurs fois par an des actions de ramassage des déchets.
Des poubelles sont mises à disposition lors des déplacements et dans les hébergements. Tous les déchets sont ensuite ramenés jusqu'à une déchetterie locale qui assure le recyclage.
Nos engagements :
Nous sensibilisons nos voyageurs aux us et coutumes locales et aux comportements à adopter sur place avant leur départ et à leur arrivée.
Informations :
Nous proposons un ou plusieurs vols intérieurs faute d'autre moyen de transport compatible avec le programme du voyage.
Ce voyage est une croisière à moteur. Nous cherchons des moyens de minimiser l'impact que certains bateaux peuvent avoir sur l'écosystème local.
Parmi les véhicules utilisés pour la logistique, tous sont encore à moteur thermique. À ce jour, nous n'avons pas trouvé d'alternatives à plus faible empreinte carbone.
Nos engagements :
Nos guides et nos documents de voyage sensibilisent nos voyageurs aux bons gestes et au respect de la réglementation dans les parcs naturels.
Nos voyageurs sont sensibilisés aux gestes à faire pour respecter les animaux.
Nos guides et nos documents de voyage sensibilisent nos voyageurs à la protection du littoral.
Pour 100 € payés sur ce voyage :
Notre approche :
Nous pensons qu’il est important que chaque voyageur soit informé de la décomposition du prix de nos voyages. Nous partageons ici cette information. Elle correspond à la moyenne observée ces 3 dernières années des coûts de tous les voyages de même catégorie (voyage en groupe, voyage en famille, voyage liberté, voyage sur mesure ou croisière) dans cette destination.
- Destination : Il s’agit du montant consacré à payer les prestations dans le pays dans lequel vous voyagez : nos partenaires, les guides, les hébergements, les transferts, les activités, la nourriture, etc.
- Aérien : Il s’agit du montant correspondant au prix du billet d’avion.
- Salariés : Ce montant correspond à l’ensemble des sommes versées à nos collaborateurs et qui ont en charge la création, l’exploitation et l’organisation de votre voyage ainsi que leur gestion administrative.
- Autres frais : Les autres frais correspondent aux frais de fonctionnement de notre entreprise : nos loyers, électricité, assurances, frais bancaires, etc.
- Impôts : Ce montant est destiné à payer tous les impôts qui sont dus : TVA, Impôt sur les sociétés, et autres impôts.
- Mécénat : Ce sont les montants dédiés à nos projets de reforestation nous permettant d’absorber 100% des émissions carbone du voyage ainsi que le soutien que nous apportons aux diverses associations que nous accompagnons en France et dans le monde.
- Entreprise : Il s’agit du montant qui reste dans l’entreprise et qui nous permet d’investir dans de nouveaux projets et développer des nouveaux voyages.
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Plus de 45 ans d'expérience du voyage d'aventure
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